Tous les bons plans du Petit Futé autour de vous ou pour un road trip, dans un guide numérique, en quelques clics.

Visitez le centre historique de La Laguna, et faites une pause gourmande dans l'une des nombreuses bodegas dans les jolies rues piétonnes, puis prenez la route des vins en direction de Tacoronte. Poussez jusqu'au pittoresque village de Taganana à la pointe nord, pour profiter de votre premier bain de soleil au pied des falaises de la playa de São Bento, sur une magnifique plage de sable noir volcanique étincelant sous le soleil. Prenez un verre au sommet pour apprécier la vue. Pour le trajet retour, passez au cœur du massif de l'Anaga, succombez à la douce fraîcheur de la pinède et des vues spectaculaires qu'offre la route des crêtes en direction de Santa Cruz. Une fois arrivé dans la capitale, osez vous offrir une bonne table dans cette ville peu touristique, pour vous familiariser avec le meilleur de la gastronomie canarienne.

Partez à la découverte du Teide. Commencez par visiter le pittoresque village de La Orotava, puis prenez la route qui part du village et monte jusqu'à l'entrée du parc El Portillo. En chemin, arrêtez-vous dans l'un des nombreux restaurants panoramiques qui bordent la route. Peu chers et très typiques, ils offrent une vue sur la vallée à ne pas manquer. La montée est jalonnée de miradors et de particularités rocheuses, vous passez au milieu de la pinède avant d'atteindre le sommet, plus pelé. La route en direction du téléphérique passe par des paysages lunaires. Puis optez pour la balade de 2 heures à Roque de Garcia qui fait une boucle. Empruntez ensuite la route de Santiago pour redescendre, un peu avant le coucher du soleil pour admirer les îles de La Palma, El Hierro et La Gomera par-delà une mer de nuages, puis vous passerez dans votre premier champ de lave, celui qui a failli engloutir le village en contrebas. Cap sur la route côtière jusqu'à Puerto de la Cruz ! Vous dînerez dans une ruelle typique et colorée du Muelle, et prenez un verre sur la plaza del Charco.

Explorez le centre de Puerto de la Cruz, le vieux port et son quartier de pêcheurs, et hop, à vous le bain dans les Piscinas del Lago Martiánez – cette oasis d'eau et de végétations tropicales conçue par le génial artiste canarien César Manrique. Mangez sur place dans un restaurant près du muelle. Prenez la route côtière en direction d'Icod de los Vinos pour aller admirer le magnifique dragonnier millénaire visible depuis la place du village. Poursuivez votre route direction Garachico, un autre village qui mérite une petite balade dans le centre historique piéton. Empruntez ensuite la typique route du massif du Teno, en passant par Buenaventura, et poussez jusqu'au phare du Teno, à la pointe ouest de l'île. Faites une courte randonnée dans la forêt, et dormez dans une maison rurale typique du coin.

Rendez-vous à Los Gigantes assez tôt dans la matinée. Achetez un ticket combiné comprenant le transport jusqu'à Masca et le retour en bateau. Ce circuit très organisé vous mène dans un village pittoresque accroché à une falaise. Faites ensuite la randonnée du Barranco de Masca (3 heures) qui mène à la crique où viendra vous chercher le bateau. La randonnée est spectaculaire, au creux des gorges du Barranco jusqu'à la mer et vous pique-niquerez dans la crique. Au retour, le bateau longera les vertigineuses et massives falaises qui bordent la côte et vous emmènera au large pour observer les baleines et dauphins qui vivent entre Tenerife et La Gomera. Pour vous détendre, allez faire bronzette sur l'une des plages de la côte sud et dînez sur place.

Empruntez cette fois la route sud passant par Vilaflor pour monter à l'assaut du Teide. La route est là encore spectaculaire. Prévoyez d'arriver tôt au pied du téléphérique (avant 10 heures) pour grimper au sommet de l'île soit 3 000 mètres ! Réservez votre place en ligne pour accéder aux derniers 200 mètres du cône volcanique. Admirez la vue panoramique et enchanteresse ! Si vous êtes un randonneur chevronné, redescendez par le Pico Viejo (6h), cette randonnée est probablement la plus belle et la plus spectaculaire du parc. Les moins aventureux pourront passer par l'autre côté par Montaña Blanca. En fin de journée, direction la route de La Esperanza ! Puis filez au port de Santa Cruz pour prendre un bateau direction le petit port de pêche d'Agaete, juste en face à Gran Canaria. Dormez sur place.

Après la grande randonnée de la veille, reposez-vous sur la belle plage de sable blanc de Maspalomas, avec la mer de dunes en toile de fond. L'après-midi ne manquez pas la visite de la superbe ville de Las Palmas, sans rater la Casa de Colón ainsi que les autres musées d'exception du centre historique de Vegueta et Triana, notamment le Musée Canario pour son exposition sur les Guanches, ce peuple primitif préhispanique. Profitez-en pour acheter vos souvenirs. Offrez-vous une bonne table pour cette dernière soirée, puis allez boire un verre dans un bar animé de San Telmo.

Pour votre dernier jour, repartez vers le sommet, la tête dans les nuages, ou au-dessus ! Depuis Las Palmas, passez par le typique village de Teror, puis montez par Vega de San Mateo pour atteindre la route circulaire tracée au sommet de l'île. Ne manquez pas le sommet de l'île, le Pozo de Las Nieves, et la petite randonnée (45 minutes) qui mène au pied du Roque Nublo, un gigantesque monolithe. De là, laissez-vous porter par la vue majestueuse sur une grande partie de l'île et le pic de Teide, sur Tenerife juste en face. Allez manger à Tejeda. Faites un crochet par le village troglodyte d'Artenara avant de redescendre par le superbe village de San Bartolomé. La route se sépare ensuite pour mener à Santa Lucia ou Fataga. Quel que soit votre choix (nous vous conseillons Fataga), la route sera incroyablement vertigineuse. Pour votre dernier moment sur l'île, profitez des derniers rayons de soleil sur la plage de Maspalomas très proche de la route que vous venez de descendre. Faites un dernier plongeon dans l'océan avant de dîner en terrasse.

Première journée à Niamey. Dans la matinée, rendez-vous au musée national pour un aperçu complet du Niger. Excellente adresse pour appréhender la culture et la société nigérienne : représentations des différentes ethnies à travers les costumes traditionnels, les instruments de musique, l’artisanat... Ce musée est à la fois un lieu de sauvegarde, un atelier artisanal et un lieu de vente. Ainsi, vous irez à la rencontre des artisans bijoutiers, des cordonniers, des tisserands en plein labeur, vous y verrez des boutiques et des batiks de grande qualité. Le volet commercial est aussi une sorte de sauvegarde du patrimoine car il maintient l’art nigérien en vie, et vous verrez les jeunes générations à la redécouverte de leur culture. Dans ce lieu culturel, plusieurs pavillons exposent de grands thèmes comme la paléontologie, un domaine qui suscite la curiosité, l’exploitation de l’uranium, qui fait toujours l’actualité. L’après-midi, flânez dans le petit marché, qui n’a rien de petit, entre les étalages de poivrons, de tomates, de fruits et de nombreuses autres surprises culinaires. N’hésitez pas à demander le nom de tout ce qui vous est inconnu, sans la garantie d’avoir la réponse en français, vivez l’exotisme ! Vraie caverne d’Ali Baba, le grand marché propose une quantité et une variété d’articles remarquables ; on y trouve des habits modernes et traditionnels, des sandales et des chaussures imitation « grande marque », des tissus du monde entier, des pagnes, des basins… Ce labyrinthe regorge de surprises à chaque tournant ! Et en soirée, le must est l’apéritif sur la terrasse du Grand Hôtel pour un coucher de soleil sur le fleuve et la ville en contrebas.

Dans la « brousse tigrée » de Kouré, pâture le dernier troupeau de girafes en liberté d’Afrique de l’Ouest : spectacle saisissant que ces têtes si haut perchées au port nonchalant ; elles sont habituées à voir du monde et se laissent approcher de très près depuis qu’elles sont protégées.

Le Parc national du W (idéal de décembre à avril) n’est qu’à 2 heures de voiture au sud de la capitale. Après avoir circulé avec un garde forestier dans la savane à l’affût des buffles, des éléphants ou des oiseaux, on peut se restaurer et passer la nuit dans un campement touristique sous tente au milieu du parc et se lever aux aurores pour surprendre encore les fauves ou les antilopes au bord des mares.

Poursuite de la découverte du Parc national du W, puis retour à Niamey.

Visite à Niamey du marché aux fleurs au bord du fleuve, rencontre avec les tanneurs (même si cela dégage un fort « parfum », leur travail est intéressant). Découverte du village artisanal de Wadata : lieu de travail de toutes sortes d’artisans du cuir, du tissu, de meubles, potiers, tisserands et grande boutique de présentation et de vente des objets. On peut y commander aussi l’objet ou le meuble de son choix. Se réserver aussi un après-midi de promenade dans les rizières en amont ou en aval de Niamey où l’on rencontre les familles au champ ou à la récolte.

A 15 km de Niamey se trouve le lieu-dit Rio Bravo, au bord du fleuve, jardin sous les manguiers, avec possibilité de faire des barbecues, des balades à dos de chameau ou en pirogue. Pour y passer la nuit, il y a le relais Kanazi qui propose des chambres, ou alors sous les étoiles ou en camping (prévoir la tente) sur un terrain clôturé en bordure du fleuve pour une détente les pieds dans l’eau.

Réveil par le chant des oiseaux du Niger, avant de reprendre la route vers Niamey.

Pénétrez dans la vieille ville de Dubrovnik par la porte Pile. Cette impressionnante porte en pierre doublée d'un pont-levis est surplombée par une statue de saint Blaise, le protecteur de la cité. L'aspect actuel (extérieur) de la porte date de 1537. Descendez les escaliers et vous arrivez sur le Stradun (officiellement appelé Placa), la rue principale de Dubrovnik, où tout commence et tout finit ! Stradun était autrefois un canal qui séparait Raguse (la Latine) de Dubrava (la Slave) – située en face. Celui-ci a été définitivement comblé au XII^e siècle et la rue a été finalement pavée en pierres de Brac au XV^e siècle pour être recomposée après le tremblement de terre destructeur de 1667. La blancheur de cette artère majeure est presque aveuglante l'été. Par temps de pluie, le Stradun se transforme en véritable miroir (voire patinoire !). Vous voilà donc dans la vieille ville, ceinturée de remparts. Afin de mieux en saisir la géographie, un petit tour en hauteur s'impose. Prenez tout de suite sur votre gauche après avoir pénétré par la porte Pile et accédez à la promenade des remparts, longue de 2 km. Construit entre le VIIIe et le XVI^e siècle, le système de fortifications de la vieille ville de Dubrovnik – qui résista au séisme de 1667 – en impressionnera plus d'un. C'est ainsi que Raguse pensait se protéger des attaques ennemies en provenance avant tout de la mer. En réalité la République ragusaine, virtuose diplomate, n'en aura guère eu besoin. C'est peut-être finalement lors du siège de Dubrovnik que les remparts auront véritablement rendu service à la population locale, qui y trouva refuge.

Compter 2 h pour un tour complet (de 2 km). Une fois de retour à la porte Pile, empruntez le Stradun. Sur votre droite, c'est la fontaine d’Onofrio della Cava, qui porte le nom de celui qui l’a façonnée, soit un architecte milanais d’importance pour Dubrovnik, qui se chargea de l'approvisionnement de Raguse en eau depuis la Rijeka Dubrovacka à plusieurs kilomètres de là. Très endommagée par le tremblement de terre de 1667, puis par les bombardements de 1991, elle a été reconstruite à l'identique après chacun de ces événements destructeurs. Sur la droite, en face de la fontaine, s'élève l'église Saint-Sauveur qui présente une jolie rosace Renaissance. C'est la seule église qui ait résisté entièrement au séisme. Continuez par la visite du monastère franciscain, en avançant sur la gauche. Une légende dit que l'ordre des Franciscains de Dubrovnik aurait été instauré à la suite d'un voyage de saint François d'Assise lui-même, en direction de la terre sainte. Ce qui est sûr, c'est que les disciples de saint François se sont installés dans la ville au XIII^e siècle et intra-muros au XIV^e siècle. Ne pas manquer de vous ressourcer à l'ombre du splendide cloître et de ses chapiteaux sculptés, dont l'ensemble a été peu affecté par le tremblement de terre de 1667. Le petit musée vaut aussi le coup d'œil pour se faire une idée de la Raguse d'autrefois et pour admirer quelques peintures historiques. En sortant, faites vos emplettes dans la pharmacie des franciscains, une des plus vieilles d'Europe. Ses tenanciers perpétuent encore et toujours le précieux savoir-faire des religieux. Retour à l'éblouissant Stradun. Avec tout cela, vous avez bien mérité un café ! Arrêtez-vous donc au café Festival. Après avoir rendu honneur à l'art de vivre croate, continuez tout droit sur Stradun en jetant à gauche et à droite des regards sur les ruelles et rues qui en partent, que vous aurez tout le loisir d'explorer un peu plus tard. Arrêtez-vous sur la place de la loge dite Luza. La statue qui l'orne c'est celle d'Orlando (Roland). Roland, chevalier de Charlemagne, héros de nombreuses légendes et épopées (comme La chanson de Roland, par exemple) incarne la liberté, une vertu chère au cœur des Dubrovnikois. La statue se tient là où se trouvait autrefois un marché. Son bras droit servait de mesure aux commerçants ragusains. En face sur la place se trouve le palais Sponza, ancien palais des douanes et présentement bâtiment des archives, c'est un parfait exemple d'architecture locale à la croisée des genres entre gothique et Renaissance. Au bout de Stradun, se tient la Tour de l'horloge, construite en 1444 à l'origine et reconstruite en 1928. À côté, c'est la petite fontaine d'Onofrio. Continuer tout droit en direction du vieux port (Stara Luka). Déjeunez-y, pourquoi pas, à Lokanda. Pour digérer, laissez-vous allez au plaisir d'une balade sur la jetée du vieux port, dite « Porporela », construite du temps des Habsbourg. Retournez sur vos pas et visitez l'exposition du palais Sponza sur le siège de Dubrovnik. La grande église, qui s'élève au sud de Luza, est dédiée à saint Blaise. Prenez le temps de l'admirer de l'intérieur ainsi que les vitraux d'Ivo Dulcic‡, artiste de Dubrovnik. Face à l'église, le bâtiment qui fait l’angle de la place Luza et de la large rue Pred Dvorom est devenu l'hôtel de ville ainsi que le théâtre Marin Drzic‡. Le palais fut construit en 1303, détruit par un incendie en 1817 et entièrement reconstruit en 1864, dans un style Renaissance italienne, il abritait le grand conseil de la république de Dubrovnik. Le bâtiment attenant, c'est le palais du recteur. C'est ici que battait le cœur de Raguse : c'est là que résidait le recteur, personnage clé de la cité, gouverneur de la Cité-État ragusaine, qui ne pouvait rester au pouvoir qu'un mois. Comme on y stockait autrefois de la poudre, le palais a explosé et a été réédifié dans un style distinct et se présente dans un style Renaissance, agrémenté de quelques touches baroques.

En face, c'est la cathédrale de Dubrovnik. Pénétrez à l'intérieur, visitez le trésor, riche en reliques. Prenez ensuite les petites ruelles qui partent de la cathédrale vers le sud de la ville et les remparts. Finissez votre journée par un verre au bar sur les rochers dit « buza ». De là, vous pouvez plonger dans l'Adriatique.

Démarrer votre journée derrière la cathédrale, par un petit tour au marché touristique de la vieille ville, situé Gunduliceva Poljana (place Gundulic), une mignonne placette qui débouche sur l'église jésuite, splendeur baroque, dont l'escalier monumental date de la reconstruction post-tremblement de terre (de 1667). Ensuite, prenez au choix les ruelles ou repassez par Stradun pour rejoindre le fort Saint-Jean où se trouve le musée maritime. La flotte de Raguse était une des plus importantes au monde, ce musée en retrace l'évolution. Juste à côté se trouve l'aquarium. Faites une pause pour déjeuner. Passez par le vieux port afin de rejoindre le palais Sponza et continuez tout droit, derrière le palais en direction du monastère des dominicains. Avec les Franciscains, les Dominicains étaient chargés de surveiller les entrées en ville, puisque chacun des deux ordres se trouvait à une extrémité de Raguse. Prenez votre temps pour arpenter les voûtes suaves du cloître et pour visiter le musée du couvent (riche en peintures ragusaines des XV^e et XVI^e siècles), ainsi que l'église. Regagnez Stradun et tournez dans la ruelle Zudioska, abritant une jolie synagogue sépharade, qu'il serait dommage de ne pas visiter. Promenez-vous dans les ruelles parallèles et dans Prijeko. Traversez Stradun et explorez les ruelles du côté opposé, elles regorgent de cafés et d'échoppes.

Commencez par la visite de l'exposition très poignante sur les guerres de Yougoslavie (et autres guerres récentes) dans la galerie War photo limited, située dans une des ruelles montant vers les hauteurs de la vieille ville. Puis rendez-vous à Ploce, le quartier qui s'étend à l'est de Dubrovnik, après la porte du même nom. Visitez le musée d’Art moderne, dont les expositions temporaires sont souvent intéressantes et prenez le téléphérique pour monter jusqu'au sommet du mont Srdâ‘. Ce funiculaire, très populaire auprès des Dubrovnikois avait été inauguré du temps de la Yougoslavie. L'institution a fortement souffert des attaques de la JNA (Armée populaire yougoslave) en 1991 et ce n'est qu'en 2010 qu'elle a pu reprendre du service. Admirez la vue qui s'offre à vous. Puis redescendez à Ploče, pour finir votre journée sur la plage de Banje.

Démarrer la journée par la visite de la galerie Dulčić – Masle – Pulitika, consacrée à la génération du renouveau de la peinture dubrovnikoise au XX^e siècle. Ce trio de peintres avait en commun un même goût de la couleur et des paysages de la région de Dubrovnik.

Sortir de la vieille ville par la porte Ploče et passer devant le bâtiment des Lazareti. C'est là que les étrangers et commerçants venant de loin étaient mis en quarantaine avant de pénétrer à l'intérieur des remparts. Raguse avait établi des règles strictes en matière d'hygiène et ces lazarets figurent parmi les rares en Europe a avoir été préservés (et transformés en club). On continuera par un petit tour à la forteresse Revelin, en contrebas de laquelle il est possible de prendre un verre et bénéficier d'un panorama sans égal.

Regagner la vieille ville et visiter le musée ethnographique dit Rupe, l'ancien grenier à blé de Raguse ou plutôt son lieu de conservation. Avant de mettre le cap sur le fort Saint-Laurent (Lovrijenac), situé à l'extérieur des remparts, perché à 37 m de hauteur, qui offre lui aussi une vue splendide. L'été, on y joue des pièces de Shakespeare, l'endroit s'y prête à merveille.

Enfin, on finira la journée par une petite promenade du côté de Pile et de Boninovo, jusqu'à Danče et son église à croquer, ainsi que sa plage.

Cette journée se décompose en une visite du quartier de Gruz et d'une après-midi sur l'île de Lokrum. Depuis la vieille ville, prenez le bus 6 jusqu'à l'arrêt du port de plaisance de Gruz. C'est au-delà de Gruz que s'étend la nouvelle ville de Dubrovnik, et que résident la majorité de ses habitants, pour autant Gruz ne date pas d'hier, bien au contraire, le quartier articulé autour du port et de la Rijeka Dubrovaȍka qui s'y jette, était déjà investi par la noblesse ragusaine qui s'y fit construire de somptueuses villas. Ce quartier tranquille est propice à la promenade. Parcourir la Lapadska obala (à Lapad) jusqu'à rejoindre Gruz et son marché très animé. Laissez-vous tenter par quelques fruits et menus victuailles, que vous dégusterez sur l'île de Lokrum, où nous mettons le cap ! Pour vous y rendre, reprenez le bus 6 jusqu'à Pile, traversez la vieille ville et rendez-vous dans le vieux port pour prendre un bateau pour Lokrum. Cette île classée réserve naturelle est un véritable paradis végétal et abrite nombre de criques de charme à seulement 20 minutes de Dubrovnik en bateau. Perdez-vous dans ses pins et son ancien monastère, baignez-vous dans le petit lac d'eau chaude et dans l'Adriatique. Et n'oubliez pas de reprendre le bateau !

Cette journée sera entièrement consacrée à la visite des Elaphites. De nombreuses agences proposent une expédition d'une journée sur les trois îles, déjeuner sur le bateau à la clé. Cela dit, avec trois îles en un jour, le programme est chargé ! Pour ceux qui préfèrent, c'est tout à fait possible de partir seul, via les ferrys de G&V line et surtout de Jadrolinija et de rejoindre Šipan, Koloȍep ou Lupud. Lopud est la plus connue des îles Elaphites, et pour cause, elle dispose d'une longue plage de sable (Šunj). Les autres îles n'ont pas d'aussi longues étendues de sable à proposer, mais elles ne manquent ni de criques, ni de charme. En tout cas, ces îles d'un accès rapide et facile depuis Dubrovnik (port de Gruz) sont un must pour qui veut goûter à la luxuriance de la végétation ragusaine, ponctuée de quelques villas patriciennes et églises centenaires.

Cette dernière journée est consacrée à une excursion supplémentaire, à Cavtat cette fois-ci. En été, il est très facile de se rendre du vieux port de Dubrovnik à Cavtat en bateau depuis le vieux port (ou en bus, toute l'année). Préférez le bateau qui offre une jolie balade sur les flots le long de la Župa Dubrovačka et ses plages. Cavtat est la capitale du Konavle, une région montagneuse et fertile, aux franges de la république de Raguse, à la frontière avec le Monténégro et la Bosnie-Herzégovine. C'est de Cavtat (anciennement Epidaure) que sont partis les fondateurs de la cité de Raguse. Cavtat est aujourd'hui une adorable cité balnéaire qui a l'avantage d'être riche en histoire. On ne manquera pas de visiter la maison de Vlaho Bukovac, consacrée à ce grand artiste croate, originaire de la ville. Ainsi que le mausolée de la famille Racic, signé de la main du maître Meštrović. Il y a aussi l'église Notre-Dame-des-Neiges. Enfin, on lézardera sur l'île de Supetar ou on se promènera le long du front de mer.

Tour à pied du centre-ville : grimpez en haut du clocher d’Hallgrímskirkja, tour du lac Tjörnin (et ses oiseaux), balade dans le vieux quartier de maisons colorées et première découverte des chaleureux cafés locaux. Le soir, rejoignez les Islandais à la piscine Laugardalur pour terminer la journée, immergé dans une eau naturellement chaude.

Passez la matinée dans l’un des beaux musées de la ville, le Musée national, qui propose une formidable et vivante exposition sur l’histoire du pays. À midi, partez en excursion faire le Cercle d’Or, voir Geysir, Gulfoss et Þingvellir, sites majeurs islandais (à réserver la veille). Le soir (vendredi ou samedi), vivez le Runtur, nom des légendaires nuits de Reykjavík. On passe sans relâche de pub en pub pour boire, danser et écouter des groupes. Les soirées débutent tard, mais permettent de voir un peuple perdre soudain toute sa timidité et ses inhibitions.

Matinée à déambuler sur le port et au marché aux puces de Kólaportið, un concentré d’Islande populaire. Goûtez sur place au requin mariné ou rendez-vous chez Saegreifinn pour déguster des brochettes de poissons frais ou une soupe au homard à se damner. Si votre avion part en soirée, profitez des forfaits « Blue Lagoon + flight », pour vous détendre dans les eaux chaudes et laiteuses d’un lagon au milieu des roches volcaniques, avant de retourner à l’aéroport.

Il est consacré au voyage. Si vous partez le matin, grâce au décalage horaire, vous arrivez en fin de journée à La Nouvelle-Orléans. Essayez de dormir dans l’avion afin de profiter un peu de la première soirée sur place. L’ambiance de fête de Bourbon Street devrait vous maintenir éveillé.

Petit déjeuner de beignets ou de grits et œufs brouillés, courte balade dans le Vieux Carré, vers les quais et Jackson Square. Louez une voiture pour deux jours et partez sur la rive nord du lac Ponchartrain via le Causeway Bridge. Vous pourrez déjeuner en front de lac à Mandeville, pénétrer le mystique bayou Cane en kayak l'après-midi (ce qui vous permettra d'avoir un bref aperçu du pays cajun) avant de faire une halte désaltérante à la brasserie Abita ou dans les vignobles Ponchartrain. Dîner à Covington, à Oxlot 9, un délice. Vous pourrez passer la nuit dans un des B&B locaux. Si vous y êtes au printemps, regardez le programme du Dew Drop pour un moment de musique unique.

Petit déjeuner chez Liz et en route pour les plantations en contournant le lac : Evergreen, Laura ou Whitney font partie des incontournables. Une le matin et une l'après-midi. Dormez dans un des multiples B&B du coin.

Rejoignez Thibodaux ou Houma pour un plongeon dans la culture cajun, et dans le bassin de l'Atchafalaya. Rencontre avec des alligators et la gastronomie locale. Retour à la Nouvelle-Orléans en fin de journée.

Depuis Champagnole, direction Syam, avec ses forges et sa villa néo-palladienne. Les gorges de la Langouette passées, direction Chaux-des-Crotenay. Il faut aller au pic de l’Aigle (993 m), vous aurez une vue sur le Jura et les quatre lacs : Ilay, Narlay, Petit et Grand Maclu. Vous pourrez faire le tour de ces lacs sauvages à pied. A Bonlieu vous pourrez faire étape, non sans avoir vu son lac.

Les cascades du Hérisson sont remarquables, c’est un parcours de 3,7 km et un dénivelé de 250, pas moins de 31 sauts et 7 cascades principales avec le Saut Girard (35 m). Cette balade terminée, Doucier et le lac de Chalain, le plus grand lac naturel du département, vous attendent. Toujours dans l’esprit des lacs, passez par Clairvaux-les-Lacs, avec son église. De là vous allez vous rendre à Orgelet, où l’église Notre-Dame-de-l’Assomption du XVII^e siècle est superbe. Vous n'êtes qu’à quelques encablures du lac de Vouglans, premier lac artificiel de France, avec possibilité de baignades et de randonnées et une via ferrata très spectaculaire. Ici c’est aussi le pays du jouet avec son célèbre musée à Moirans-en-Montagne. Les distances entre ces sites sont relativement rapprochées, pour une immersion en pleine nature.

Arrivée à Bakou, où la journée peut être consacrée à l’exploration de la vieille ville : les mosquées, le palais du shah, la tour de la Vierge.

Toujours à Bakou, découverte de la ville du boom pétrolier, de la promenade qui longe la Caspienne, de quelques-uns des multiples musées de la ville (musée d’Histoire, musée Nizami et musée du Tapis, notamment).

Départ vers Shaki. Plusieurs arrêts sont possibles le long du chemin, à Shamakhi (où l’on peut visiter une très belle mosquée ainsi qu’un très vieux cimetière musulman) et à Lahij, un petit village de montagne aux rues pavées, où l’artisanat est resté très vivace.

Shaki, sa forteresse, son splendide palais, ses églises reconverties en musées, son magnifique caravansérail transformé en hôtel de charme. On peut terminer la journée à Kish, un petit village de montagne doté d’une étonnante église albanaise datant du I^er siècle de notre ère.

De Kish, une belle randonnée dans une vallée permet d’atteindre une vieille forteresse offrant une vue sur les sommets enneigés du Caucase. Retour à Bakou.

Située autour de Bakou, elle recèle des trésors d’architecture et de phénomènes naturels. Flammes spontanées, temple du feu, tours de guet du XII^e siècle… et, pour une pause bien méritée, les plages de Pirshagi ou de Shuvalan.

Encore quelques heures à Bakou, pour découvrir le bazar, explorer quelques musées supplémentaires ou, tout simplement, flâner dans la vieille ville ou le long de la Caspienne, au rythme des foules locales.

Cette première journée se consacre à la visite du centre historique de Lima et à quelques heures de shopping dans les ruelles environnantes pour rassembler les derniers éléments qui pourraient manquer lors de ce voyage. Ne pas manquer la Plaza Mayor, emplacement où furent édifiés la cathédrale et le palais gouvernemental. Soirée dans le quartier animé de Barranco.

Lever aux aurores afin de prendre un avion en direction de Cusco. Parti du niveau de la mer pour se retrouver à environ 3 400 m, il reste impératif de dormir quelques heures une fois arrivé, car le mal de l’altitude n’épargnera personne. Toutes les pharmacies du centre vendent d’ailleurs quelques gélules pour vaincre ces maux. Le reste de la journée, promenade autour de la Plaza de Armas avec ses constructions coloniales. Ne pas faire d’efforts et se reposer.

Visite de la ville avec une agence de voyages locale pendant une demi-journée. Celle-ci débute par une visite de la cathédrale qui contient plus de quatre cents peintures de l’école de Cusco, puis se poursuit par la découverte du temple du Soleil, centre religieux inca consacré au culte du soleil. Un bus conduit ensuite les participants aux magnifiques ruines de Saqsayhuamán, puis vers Q’enqo et Tambomachay. Retour en ville pour y passer la nuit.

Excursion dans la Vallée sacrée (durée : 1 journée). Celle-ci demande l’achat d’un billet touristique qui offre l’accès à de nombreux lieux culturels et monuments. Premier arrêt dans la ville de Písaq, connue pour son marché particulièrement animé le dimanche, et où de nombreux habitants sont vêtus d’habits traditionnels. Il s’agit d’un bon endroit pour emporter quelques souvenirs. Déjeuner dans la ville d’Urubamba, où chacun peut goûter au célèbre maïs cultivé dans la région. Ensuite, direction vers les ruines incas d’Ollantaytambo puis vers le site archéologique de Chinchero, qui se pare d’une magnifique église coloniale. Nuit dans la Vallée sacrée à l’hôtel Sonesta Posada Del Inca Vallée Sacrée à Yucay pour d’agréables moments de détente.

En prenant une navette tôt le matin, direction vers la gare d’Ollantaytambo où un train attendra les touristes qui souhaitent visiter l’un des sites mythiques du Pérou : Machu Picchu. Il est fortement conseillé d’avoir un guide avec soi dans cette cité de pierre car il est difficile de connaître la signification de chaque ruine, et la visite perdrait alors beaucoup de son intérêt. Retour en bus vers la ville d’Aguas Calientes avec quelques instants de détente dans les sources naturelles d’eau chaude.

Retour en train vers la gare d’Ollantaytambo au départ d’Aguas Calientes. Ici, un guide attendra le voyageur afin de l’entraîner dans un trek d’une journée et demie dont la première étape est le site d’Huchuy Qosqo. Il s’agit d’une ancienne cité inca située au beau milieu de nulle part avec une superbe vue sur la chaîne de montagnes de la cordillère de Vilcanota. Nuit en camping au beau milieu des ruines.

Le lendemain, la marche continue pour rejoindre les environs de Cusco. Celle-ci passe par des paysages divers et variés, souvent situés en haute altitude (environ 4 300 m). Sur demande, il est possible de déjeuner au bord d’un lac de montagne. Quelques cuisiniers prépareront alors ce repas, tout comme pour la soirée précédente. Après une longue journée d’effort, nuit à Cusco.

Journée libre à Cusco. C’est l’occasion de partir à la découverte des nombreuses églises de la ville et du musée d’Art religieux (boleto religioso) ou des murs incas. Cusco comporte d’autres musées pour ceux qui sont avides de culture : le musée inca, le musée d’Art précolombien et le musée de Arte Popular pour les plus connus. Ce dernier est d’ailleurs inclus dans le billet touristique. Nuit à Cusco.

Une longue journée de bus mène vers la ville de Puno, laquelle longe le superbe lac Titicaca. Mieux vaut prendre un bus de qualité (exemple : Inka Express) afin de ne pas subir une route parfois difficile. Ces bus de classe supérieure passent en outre des vidéos, disposent d’hôtesses qui servent à boire, et d’un guide qui fournit toutes les explications nécessaires pendant les arrêts, ces derniers se transformant en visites de lieux architecturaux. Nuit à Puno.

La matinée est dédiée à la visite des îles flottantes d’Uros. Il est possible d’y faire quelques emplettes et de naviguer sur des bateaux construits manuellement à base de matériau naturel. La seconde partie de la journée se destine à la visite de l’île de Taquile. Afin que cette excursion, qui nécessite de traverser plusieurs centaines de marches, ne se transforme pas en calvaire, demandez à emprunter ce fameux escalier en fin de journée, en descendant les marches pour rejoindre le bateau plutôt qu’en les montant en arrivant sur l’île. Possibilité d'y passer la nuit chez l'habitant et de rentrer à Puno le matin qui suit.

Seconde journée à Puno. C’est l’occasion de visiter le très grand marché de la ville : vêtements en laine d’alpaga, fruits et légumes, produits d’entretien et de consommation courante, tout se trouve ici ! L’après-midi, excursion vers le site de Sillustani. Les tours funéraires de ce lieu, appelées chullpas, où les cadavres de familles entières étaient regroupés, comptent parmi les plus hautes du Pérou. Le soir, prendre un bus de nuit en direction d’Arequipa.

Le bus arrive très tôt à Arequipa, à l’aube. Journée libre dans la ville où les lieux majeurs sont le monastère de Santa Catalina, une véritable ville dans la ville, ainsi que le musée Santuarios Andinos, lequel renferme la momie d’une enfant sacrifiée en haut de l’Ampato : Juanita. Son état de conservation est tel qu’il est encore possible de distinguer les cheveux et la texture de peau de la fillette. Nuit à Arequipa.

L’excursion vers le canyon du Colca, l’un des plus profonds du monde, existe sous deux formules, en une ou deux journées. Très clairement, l’excursion d’une journée n’apporte que fatigue et beaucoup de route. Après avoir traversé des plateaux déserts de haute altitude où l’on rencontre alpagas, vigognes et lamas, un court arrêt permet de boire un thé à la feuille de coca, recommandé pour une meilleure adaptation à l’altitude. Le bus repart ensuite vers la ville de Chivay, réputée pour ses sources thermales naturelles. Nuit à Chivay, Yanque, Coporaque ou au Colca Lodge.

La seconde journée représente celle où le voyageur entre directement en contact avec le canyon. Après la traversée de routes tortueuses, l’objectif principal de cette expédition est atteint : le mirador de Cruz del Condor. Par chance, le visiteur y observera des condors en plein vol. Retour et nuit à Arequipa. Avec minimum 2 jours de plus, possible de descendre en trek jusqu'à l'oasis.

Nouvelle journée libre à Arequipa, où l’achat de quelques souvenirs est possible dans les rues adjacentes à la sublime Plaza de Armas. Sachant que le bus qui conduit vers Nasca ne part que vers 22h, mieux vaut profiter des terrasses des grands hôtels pour boire un verre avec une vue magnifique sur la fontaine et la cathédrale de cette place. Bus de nuit vers Nasca.

Un grand mystère encercle Nasca et sa région. En survolant le désert, de larges figures peuvent être observées du ciel, certaines ayant pour apparence un singe, une araignée ou encore une main. Bien que de nombreuses théories tentent de répondre au pourquoi de l’existence de ces lignes, appelées lignes de Nasca, nul n’en connaît aujourd’hui la signification. Bus en fin d’après-midi au départ de Nasca pour rallier Paracas. Nuit dans le joli port de pêche de Paracas.

Excursion aux îles Ballestas, également surnommées les mini-Galapagos. Elles s’attribuent cette appellation par la faune abondante d’oiseaux (pétrels, cormorans et autres) et de lions de mer qui habitent ces lieux. Tous les cinq ans, et pendant environ trois mois, des ouvriers viennent vivre sur ces îles pour y récupérer le guano, déjection des animaux qui, à force de s’accumuler, peut atteindre jusqu’à plusieurs dizaines de mètres d’épaisseur. De retour sur le port, un bus enchaînera avec la visite de la réserve nationale de Paracas. L'après-midi transfert à l'oasis de la Huacachina, à 1h de route pour arriver à l'heure du coucher de soleil sur les dunes.

Tour en buggy des dunes si on n'en a pas eu le temps la veille et profiter des lieux pour effectuer du sandboarding, l’équivalent du surf des neiges, mais sur le sable. Bus à destination de Lima. Nuit à Lima dans le quartier de Miraflores ou à Barranco.

A Lima, avant de décoller pour le retour, tous les amoureux ne devront pas oublier de se retrouver au pont des Soupirs du quartier de Barranco ou visiter ses musées et flâner parmi ses casonas. Une journée au site archéologique de Pachacamac reste une autre solution pour ceux qui ne souhaitent pas rester en ville. Nuit à Lima.

Matinée de mise en jambe sur la Corniche, pour gagner à pied le musée d'Art islamique. Visite et déjeuner au Café Ducasse. L'après-midi, farniente hôtelier et sortie vers 17h pour une immersion culturelle au Souq Waqif. Une glace chez Dolce Vita, balade dans les ruelles animées et colorées, dîner dans l'ambiance.

Matinée au musée d'Art contemporain Mathaf, déjeuner sur place ou au mall géant Villaggio, ou mieux encore au Golf Club. L'après-midi, découverte de la Pearl puis de Katara (concert, expo). Dîner dans les parages, pourquoi pas au Diplomatic Club, ou en format City dans le cadre hyper-trendy de l'hôtel W.

Excursion organisée vers la mer intérieure en s'arrêtant au village de pêcheurs d'Al Wakrah. Barbecue dans les dunes, retour vers la capitale et dîner en terrasse à la Cigale.

En matinée, visite du marché central, le lieu le plus animé et le plus coloré de Nairobi. L’occasion de vous plonger dans une ambiance typiquement africaine. Visite du musée Karen Blixen l’après-midi. Possibilité également d'aller à la rencontre des éléphanteaux de la  fondation David Sheldrick Wildlife Trust. Pour un dîner mémorable, choisissez entre le Carnivore ou le Lord Delamere Terrace.

Vol d’une heure vers le Maasai Mara. Un safari d’une journée depuis Nairobi est possible. Toutefois, une nuit sur place paraît plus raisonnable. Vous y observerez tous les animaux sauvages, dans les meilleures conditions qui soient. Pour vous loger, il existe une multitude de lodges et camps de toile, mais rien de bon marché. Optez pour un campement de petite taille, plus intime.

Depuis votre campement, de nombreuses activités sont possibles et déjà exceptionnelles (safaris en voiture de jour et de nuit, ou à pied, dîner dans la savane...), mais il en est une que l’on fait au moins une fois dans sa vie : flotter au-dessus du Mara en montgolfière. Une expérience certes onéreuse, mais saisissante. Un pur moment de bonheur. 

Vol pour Amboseli. Avec le Kilimandjaro en toile de fond, la variété de ses paysages, et ses troupeaux d’éléphants, le parc d’Amboseli est l’autre incontournable. Amboseli, « poussière salée » en maasaï, est la terre de tous les contrastes. De petite taille, il est assez facile à visiter. Un safari le soir, hébergement en lodge pour une nuit ou deux.

Qui n'a pas rêvé de prendre une horde d'éléphants en photo avec le mythique Kilimandjaro en arrière-plan ? Deux nuits à Amboseli vous permettront de mieux vous imprégner de ce site exceptionnel. Des safaris personnalisés en avion privé sont également possibles. Frissons garantis et paysages à couper le souffle.

D’Amboseli, il existe des vols pour Mombasa et un train quotidien, sinon il faudra repasser par Nairobi. Visite de Mombasa, le soir hébergement dans une station balnéaire. Au sud de Mombasa, vous aurez le choix entre la plage de Diani, avec sa barrière de corail et son lagon turquoise et la plage de Tiwi, pour plus de calme et d’intimité. Deux nuits sur place sont recommandées.

Profitez de la plage. De nombreuses excursions sont possibles, à vous de choisir : nager avec les dauphins, plongée sous-marine et snorkeling, visite du parc marin de Kisite et de l'île Wasini, kite surf, balades en VTT,... ou simplement profiter de la plage et du lagon turquoise qui s’offre sous vos yeux. Le lendemain, retour à Nairobi et vol de retour généralement en soirée.

Le Musée ethnologique donne un très bon aperçu de la réalité culturelle de l’Éthiopie contemporaine. On peut manger à son restaurant le Lucy, délicieux. Une escapade vers la colline d'Entoto permet de découvrir l'un des premiers palais de Menelik II et d'avoir une vue panoramique sur la capitale éthiopienne.

Tôt le matin on prend un avion Addis - Lalibela. Arrivée à l'hôtel et départ pour la visite du monastère d’Estifanos sur les rives du lac Hayq, ou de quelques églises autour de la ville. Les plus courageux peuvent partir vers l’église Yemrehanna Kristos près de Bilbila, l’une des plus surprenantes par sa décoration.

Il faut une bonne journée pour prendre le temps de visiter et s'imprégner de la foi des onze églises incroyables creusées dans la roche de Lalibela, connue aussi comme la nouvelle Jérusalem. Nous vous conseillons de visiter le groupe nord le matin, le plus spectaculaire, et le groupe sud l'après-midi.

Nous vous conseillons un magnifique road trip pour rejoindre Mékélé, capitale du Tigré, depuis Lalibela, en passant par une longue route au milieu des plateaux éthiopiens. Faites une pause à Sekota, un village où se trouve la très belle église hypogée de Wukro Meskal Kristos. A l'arrivée l'après-midi : balade dans la ville de Mékélé et visite du  palais de Johannès IV.

Départ très tôt en 4x4 depuis Mékélé suivant une descente de l'altiplano jusqu'aux plaines arides aux portes du désert. Arrêt au village de Berta Alé pour déjeuner, puis road trip à travers le désert, avec des pauses dans des camps de nomades Afar. Au coucher de soleil, départ pour 3h de randonnée jusqu'au volcan. Bivouac au pied du cratère à la belle étoile.

Nouveau départ en 4x4 tôt le matin, cette fois direction le lac Assal et la dépression de Dalol. La route est longue, on croise les caravanes de centaines de chameaux qui partent du lac Assal chargés de blocs de sel. Photos au bord du lac Assal. Nuit à Hamed Ela, un village Afar au bout du monde, où les conditions sont réellement extrêmes.

Le matin : départ pour la dépression de Danakil, cette formation géologique unique au monde, presque martienne, où la roche en création forme des palettes de couleurs improbables de vert, bleu, ocre, jaune et blanc. Visite de la montagne de sel et de la mine de sel à ciel ouvert, où depuis 2000 ans des hommes taillent manuellement des blocs de sel. Retour à Hamed Ela et nuit sur place.

Le voyage est éprouvant à ce stade, sans douche ni électricité. Vous partez tôt le matin en 4x4 pour traverser tout le désert et rentrer dans la région du Tigré. Halte déjeuner dans un village Afar, et à Berta Alé à nouveau pour boire – enfin ! – une boisson glacée. Retour vers 16h à Mékélé après une route tortueuse, retour à la fraîcheur de l'altiplano.

Visite de quelques églises du Tigré, dont certaines sont accessibles et d'autres, plus spectaculaires, isolées sur leur éperon rocheux. Nous vous conseillons celles de Dabra Tsion et Abouna Yemata le premier jour, si vous êtes un minimum sportif et non sujet au vertige. Nuit à Wikro ou Hausien.

Beaucoup d'églises spectaculaires dans la région, mais pour ce second jour ne manquez pas celles de Mariam Korkor et Abouna Daniel, parmi les plus incroyables, creusées dans la roche et peu visitées depuis des millénaires. Rendez-vous ensuite en 4x4 jusqu'à Adigrat, nuit de repos avant de prendre la route qui vous mènera à Axoum le lendemain matin.

Route vers Axoum, avec excursion en chemin au monastère de Debre Damo, l'un des plus impressionnants du pays (mais interdit aux femmes), et au temple de Yéha, l’édifice le plus ancien d’Éthiopie. Le trajet à travers des pistes montagneuses avec les visites nécessite une journée entière. Arrivée à Axoum, découverte de la ville animée en tuk tuk.

Visite d’Axoum, la ville la plus au nord du pays à la frontière de la Somalie. Ses stèles majestueuses dressées sont d'une époque païenne dont on sait peu de choses aujourd'hui. On visite des tombes royales, les ruines du palais de la reine de Saba et des églises, comme partout. Avion pour Gondar en fin de journée, nuit sur place.

Gondar : visite de l'ensemble fortifié des six châteaux de la ville, capitale des souverains éthiopiens du XVII^e au XIX^e siècle, et de l’église Debre Birhan Sélassié, immanquable. Balade dans la ville, assez développée et dynamique. Repos en préparation du trek dans le Simien le lendemain matin très tôt.

Départ tôt le matin en 4x4 pour Debark, ville située à l'entrée du parc national du Simien, où il faudra s'occuper des formalités administratives et déjeuner sur place. Ascension en 4x4 jusqu'au lodge du Simien, situé à 3 500 m d'altitude. Dîner, balade dans les jolis environs du lodge et nuit sur place.

Vous partez tôt en excursion avec les guides, mules, tente, sac de couchage, nourriture, etc., pour faire un trek jusqu'au second camp de base de l'ascension du Simien. En chemin, vous croisez des babouins geladas au brushing blond impeccable, et quelques ibex des montagnes, les chamois locaux. Nuit en bivouac.

Nouveau départ cette fois dans des conditions d'oxygénation moindre, il faut aller lentement pour gravir la montagne. Vous croisez de nombreux paysans qui vivent dans ces conditions extrêmes. Arrivée au dernier camp de base, à 4 200 mètres d'altitude où vous vous reposez après le déjeuner. Balade dans les environs pour observer la faune et la flore.

Dernier trek jusqu'au sommet du Bwahit à 4 200 mètres, d'où la vue est forcément très spectaculaire. L'oxygène est rare ! Retour au camp de base où un 4x4 chargé de toutes les affaires vous attend pour redescendre à Gondar. Nuit de repos bien méritée après une grosse demi-journée de 4x4 pour rentrer.

Route en direction de Bahar Dar, comptez une demi-journée en 4x4. En chemin, contemplez les beaux paysages autour du lac Tana. Après-midi : balade dans la plaisante ville de plaisance au bord du lac, shopping d'artisanat de la région, repos bien mérité et dîner dans un bon restaurant du centre.

Prenez une journée pour réaliser des excursion sur les îles-monastères du lac Tana et visiter les magnifiques églises qui y sont construites, certaines possèdent les plus beaux ensembles de fresques du pays. Retour à Bahar Dar en fin d'après-midi et avion pour Addis Abeba. Arrivée à l'hôtel et sortie dans un bon restaurant de la capitale.

Profitez d'être dans la capitale pour visiter les quartiers animés et populaires des marchés dans l'hypercentre, et faire du shopping. Des étoffes traditionnelles, des bijoux en argent, de l'artisanat... Vous trouverez toutes sortes de cadeaux à ramener. Sortez le soir dans un club d'éthiojazz ou de musiques et danses traditionnelles d'Éthiopie.

Profitez d'une dernière demi-journée pour visiter les lieux de la capitale que vous n'avez pas eu l'occasion de découvrir. Retour à Paris en avion depuis l'aéroport de Bolé.

Arrivée à Mahé. Journée d’acclimatation, paisible et essentiellement urbaine. Après avoir investi votre chambre et votre hôtel, découvrez cette capitale de poche qu’est Victoria, accessible en bus pour cinq petites roupies. En quatre ou cinq heures, vous pourrez connaître l’essentiel de cette ville tranquille, la première visite, en fin de matinée, devant être consacrée au bazar. Si vous avez une faim plus solide, grimpez en une quinzaine de minutes sur les hauteurs de Revolution Avenue (route de Beau Vallon) pour déjeuner dans l’une des plus belles maisons créoles de l’archipel, au Marie-Antoinette, autour d’un buffet « tipik » qui vous mettra directement toutes les Seychelles à la bouche. L’après-midi, place à la culture, en plein centre-ville, un musée dont on fait vite le tour, mais intéressant : celui d’histoire naturelle. On doit aussi flâner le long des kiosques de souvenirs voisins du palais de justice et dans les galeries commerciales de cette même avenue. La maison mérite un coup d’œil pour son architecture coloniale. On peut conclure cette découverte de Victoria par une apaisante balade dans les six hectares de sérénité du Jardin botanique, à vingt minutes de marche du centre-ville et par un moment de recueillement dans le temple hindou de Bénezet Street. Pour une première journée, ce programme peut suffire, sauf si vous avez une voiture et que vous optez pour un apéritif coucher du soleil à Beau Vallon...

Une voiture s’impose pour en découvrir l’essentiel, carte en main. Côté plages, deux sont à ne pas manquer : Anse Intendance et Petite Anse et deux autres sont aussi remarquables : Anse Soleil et Port Launay. Côté visites, sont à privilégier : le Jardin du Roi et le Domaine du Val des Prés, le studio de Michael Adams ; sur la route de Sans-Souci, dans les hauteurs, les ruines de la Mission. Pour manger, direction Chez Plume.

Côté plage, direction Beau Vallon bien sûr, emblématique et point de ralliement des Seychellois et des touristes. Sur la côte est, direction Anse Royale. Six transversales permettent de relier la côte ouest, nos préférées étant celle de Sans-Souci et celle, peu connue, de Mont-Plaisir. Et, si on en a le temps, on peut aussi rejoindre la très résidentielle péninsule nord. Pour les restaurants, nous vous recommandons : sur la côte est, les restaurants d'Anse Royale (le restaurant du Jardin du Roi, les Dauphins Heureux...) ; à Beau Vallon, Boat House et La Plage.

Départ pour Praslin. Et rien de mieux qu’une randonnée pour faire connaissance avec cette île, celle de Côte d’Or à Grand Anse par la montagne (ou vice-versa) étant parfaite. Les plages sont splendides également (Côte d'Or, Anse Lazio...).

Voiture de rigueur pour se laisser glisser dans des paysages à grand spectacle. Découvrez d’abord la mythique Vallée de Mai, puis le village de Grand'Anse, avant de vous extasier l’après-midi sur les mille et un tableaux grandeur nature de l’enchanteresse route de Consolation, qui relie Grand'Anse à Baie Sainte-Anne par le littoral.

Flânez d’abord dans le village de Baie Sainte-Anne avant de vous enfoncer dans la péninsule menant à la sauvage Anse La Blague. Puis cap sur la zone touristique de Côte d’Or, dont l’éblouissante plage mérite une mention « très bain ». L’après-midi, en route pour la sublime plage de l’Anse Lazio. Avant de reprendre la route de Côte d’Or, hissez votre 4x4 jusque sur les hauteurs de Zimbabwe pour vous offrir un panorama spectaculaire sur une large partie de l’île. Côté tables, nous vous recommandons : côté Grand'Anse, le Legend (Lémuria), la table de l’hôtel Coco de Mer ; côté Côte d'or, le buffet du Laurier, La Pirogue, le Café des Arts et enfin Bonbon Plume à Anse Lazio.

Départ pour La Digue. Et bicyclette, sitôt arrivé ! Au programme de la journée, flânerie à La Passe et balade jusqu’à l’Anse Fourmis, avec bain à Anse Patates. Découvrez ensuite La Digue de l’intérieur en suivant le chemin qui, de La Passe, mène au Château Saint-Cloud, avant de rejoindre le littoral à Anse La Réunion.

Cap sur « la » plage des Seychelles, Anse Source d’Argent, dès 8h du matin, avant l’arrivée des hordes du jour. Baladez-vous ensuite dans le domaine de L’Union, autour de son parc à tortues et de ses entrepôts de coco, de son chantier naval et de son moulin à coprah, et de sa célèbre maison du film Emmanuelle.

De retour à Anse La Réunion, prenez la route pour Grand'Anse et arrêtez-vous dans la réserve de la veuve. À Grand'Anse, abandonnez votre vélo sous le filao et, après avoir goûté à l’écume de l’une des plus belles plages du monde, suivez le chemin pour Petite Anse et Anse Cocos, ces deux sites justifiant bien un aller-retour de deux heures. Côté tables, nous vous recommandons : Lanbousir à Anse Source d'Argent ; à la Réunion, Zerof ; à Anse Sévère, Patatran Restaurant (L’Océan).

De retour sur Praslin, puis Mahé. Journée libre, avec voiture, taxi, Tata... ou un dernier « laisser-hâler » au bord de la piscine. Dernière citronnelle avant un lever de bon matin.